500 !

C'est le nombre d'exemplaires vendus de la collection Une Heure-Lumière, et ce, en moins de 2 ans. Soit 45 ventes par titre en moyenne.

Sans surprise, la meilleure vente de la collection est L'Homme qui mit fin à l'histoire de Ken Liu, vendu à 111 exemplaires (ça ne s'invente pas).

Cette collection, avec Dyschroniques, a permis à pas mal de monde de se mettre à la forme courte. Si vous souhaitez creuser dans cette veine, allez lire Les Continents perdus, anthologie regroupant cinq novellas et nouvelles de Bishop, MacLeod, Ryman, Shepard et Williams. Probablement un des meilleurs titres de la collection Lunes d'encre (malheureusement jamais repris en poche, mais heureusement toujours disponible).
Et si vous avez aimé La Ménagerie de papier de Ken Liu, allez jeter un œil à Infinités de Vandana Singh.

Deux autres pistes, une récente et l'autre non qui sont en piles en Scylla : Au-delà du gouffre de Peter Watts (certains textes n'auraient pas été reniés par Greg Egan, pas étonnant qu'ils se retrouvent dans la collection Quarante-Deux du Bélial') et Le Livre des Ombres de Serge Lehman (rien qu'avec la novella L'Inversion de Polyphème, vous ne regretterez pas l'achat du recueil).

En attendant, côté Une Heure-Lumière, le prochain titre à paraître en février 2018 sera Issa Elohim de Laurent Kloetzer. De quoi franchir les 600 exemplaires vendus et au-delà !