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Cauchemar d'une nuit d'été

Cauchemar d'une nuit d'été

Stéphane BOURGOIN, John Townsley ROGERS

Gérard DE CHERGÉ (Traducteur·trice), Jean-Claude CLAEYS (Illustrateur·trice (couverture))

Le Miroir obscur n° 99 (NOUVELLES EDITIONS OSWALD (NEO))

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Ref. 52059
Édition de 1985
État : Bon
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Quatrième de couverture

Cauchemar d'une nuit d'été : Deux meurtres ont été commis à la résidence « Les Armes royales » en l'espace de douze minutes. La police dispose de tous les éléments... sauf un : elle ignore comment le meurtrier s'est enfui. En effet, au moment où le second meurtre a été perpétré, deux policiers étaient sur les lieux et l'immeuble était encerclé. Et pourtant, pas de meurtrier, personne ! C'est un problème de chambre close « inversé » que Rogers nous propose : il ne s'agit pas de découvrir comment le meurtrier a pu entrer, mais au contraire comment il a pu sortir. L'auteur traite cet étonnant sujet dans un style à la fois lyrique et grand-guignolesque, avec une éblouissante virtuosité dont l'ironie ne nous apparaît qu'au dénouement. Un éclair dans la nuit : A New York, des femmes sont assassinées en série. La police est sur les dents. Dora Gilrymple, une jeune provinciale récemment arrivée après avoir épousé, deux mois plus tôt, l'inspecteur Tim Gilrymple, se sent perdue et isolée dans la grande ville. Elle a peur ! Car Charles Wintringham, le fou échappé de l'asile, rôde en liberté dans les rues à la recherche de sa proie... J.T. Rogers nous prouve ici que, vingt ans avant, il possédait déjà l'écriture baroque et inimitable de « La sinistre main droite ».

Né à Sedalia, Missouri, le 22 novembre 1914, John Townslev Rogers est mort le 1er octobre 1984. Admis à Harvard en 1914, il publie des poèmes dans le journal de cette université. Après avoir passé ses doctorats de langue anglaise et de sciences humaines, il s'engage dans l'armée comme pilote naval, expérience dont il tirera un grand nombre de récits d'aviation. Dès 1919, il commence à publier dans des magazines et en 1923 paraît chez Brentano's son premier roman Once in a Red Moon. A la même époque, il se met à écrire des dizaines d'histoires pour les pulps. Ce sont deux de ces histoires, en fait deux courts romans, qui sont publiées ici. Elles n'avaient jamais été réunies en volume, pas même aux Etats-Unis. En 1945 il publie son chef-d'œuvre, un des sommets de la littérature policière, The Red Right Hand, traduit en France d'abord sous le titre de Jeu de massacre, puis sous celui de La sinistre main droite dans cette même collection. Cet ouvrage obtint en France le Grand Prix de Littérature Policière en 1957. Suivront Lady With the Dice, en 1946, puis The Stopped Clock, en 1958, roman tenu en haute estime par le critique et écrivain Anthony Boucher. Passé cette date, Rogers ne publiera plus de romans. Après avoir travaillé dans deux maisons d'édition, John Townsley Rogers (dont c'est bien le vrai nom, alors qu'on a pu croire qu'il s'agissait d'un pseudonyme) avait accepté un poste gouvernemental à Washington en 1952.

Sommaire

  • (Introduction) de Stéphane BOURGOIN
  • Cauchemar d'une nuit d'été de John Townsley ROGERS de Gérard DE CHERGÉ
  • Un Éclair dans la nuit de John Townsley ROGERS de Gérard DE CHERGÉ

Détails

Collection : Le Miroir obscur

Éditeur : NOUVELLES EDITIONS OSWALD (NEO)

EAN : 9782730403030

ISBN : 978-2-7304-0303-0

Parution :

Poids : 210g

Pagination : 192 pages